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Résumé ( Spoil ! )

Le messager habituel de Tatafu souffrant du mal de mer, c'est à vous qu'il incombe de livrer des marchandises à Nanalai, à la crique du Croissant. Ne perdez pas un instant, car ces sacs sont attendus avec impatience.

Les sacs contiennent de la terre et des graines pour faire d'un pêcheur un fermier à temps partiel. Même si ce projet vous paraît un peu farfelu, Nanalai s'avère être quelqu'un de très... terre à terre. Retournez vite à la baie des Vêpres, car Tatafu attend son paiement pour les marchandises.

Tatafu n'est pas convaincue de la réussite du pêcheur, mais admet qu'elle ne connaît rien à l'agriculture. Vous non plus, d'ailleurs, mais vous pensez aux graines supplémentaires qu'elle vous a données, et rêvez d'une petite maison avec un petit jardin.

Déroulement

  1. Apporter les sacs de jute à Nanalai.
  2. Donner le paiement des graines et du terreau à Tatafu.

Dialogues

Dialogues ( Spoil ! )

Tatafu : Ma parole, en voilà une belle poissonnière ! Et moi qui croyais que les Roegadyns étaient trop gros pour avoir le mal de mer !
Oh, aventurier ! Oui, vous, là ! Vous ne chercheriez pas du travail, par hasard ? La marchande que je suis aurait bien besoin d'aide.
J'ai quelques problèmes, comme vous le voyez. J'ai recruté cette armoire à glace pour faire les livraisons, mais il passe surtout son temps à se vider l'estomac.
Je vous paierai rubis sur l'ongle pour livrer ces objets à Nanalai le pêcheur, à la crique du Croissant. Le gros balourd que j'avais engagé sera sans doute en pleine forme demain, mais je connais Nanalai, je sais qu'il n'attendra pas jusque-là.

Nanalai : Hum... Il n'est toujours pas là... Mais il devrait, bon sang ! J'en ai besoin, moi.
Ah, le voilà ! C'est un sacré sac, aventurier. Enfin, normal vu qu'il est plein de terreau.
Qu'est-ce que tu crois que j'vais en faire ? Je vais l'étaler sur le sol, pardi. Dans le p'tit sac, y a des graines. À moi la vie de fermier !
Le Fléau a repoussé les poissons loin d'ici. Si on vit pas d'la récolte, on va crever.
J'parle, j'parle, et j'oublie toutes mes bonnes manières. J'ai l'argent pour Tatafu. Dis-lui merci d'ma part.

Tatafu : Quelle rapidité ! J'imagine que le pêcheur était satisfait.
C'est le paiement ? Je vous remercie. C'est bon, tout est là ! Eh bien, merci infiniment.
Je suis un peu mal à l'aise, je dois l'avouer. Les pêcheurs n'ont déjà pas beaucoup d'argent, alors c'est triste de les voir gaspiller le peu qu'ils ont pour de la poussière noscéenne.
Enfin, qu'est-ce que j'y connais, moi ? Les fermiers de Limsa Lominsa disent que la terre de la crique du Croissant est fine comme de la poudreuse, donc ça ne peut pas être pire.
Il faut toujours garder espoir, n'est-ce pas ? Tenez, il me reste des graines. Si jamais vous avez un jour un jardin à vous, plantez-les et pensez à moi.