La caverne de Matoya
La caverne de Matoya | Niveau 59 |
PNJ client : Y'shtola
Idyllée (7:8)
Prérequis
Classe : Combattants et mages
L'espérée traversée (Niveau 58)
Description
Y'shtola attend votre signal pour vous montrer où se trouve la caverne de Matoya.
Récompenses
Déverrouille
Le rêve d'un balai (Niveau 59)
Le serviteur poroggo (Niveau 59)
Dépoussiérage de livres (Niveau 59)
Résumé ( Spoil ! )
À compléter
Déroulement
Dialogues
Dialogues ( Spoil ! )
Y'shtola : La caverne où vit Matoya se trouve dans le sud de l'Arrière-pays dravanien.
Elle a choisi cet endroit avant tout pour être laissée en paix. La grotte est extrêmement bien cachée, si bien que seule une personne avertie saurait la trouver.
Pour le moment, contentons-nous de suivre la route vers le sud jusqu'à un lieu isolé au pied de la falaise. Les environs cachent peut-être des créatures hostiles, alors soyons vigilants.
Y'shtola : Voici l'entrée de la caverne.
... Hmm ? Tu n'as pas l'air convaincue, <Joueur>. Eh bien, tu n'en seras que plus surprise.
Juste un avertissement avant que nous n'entrions : mon maître est quelqu'un de très têtu, et je doute que toutes ces années n'aient amélioré son caractère.
Tu peux être sûre que nous trouverons des sentinelles et toutes sortes de pièges sur notre chemin. Mais je ne pense pas que cela nous empêchera d'atteindre notre but.
Vas-y, touche la paroi.
Y'shtola : Ces sentinelles auraient certainement suffi à décourager des intrus ordinaires, mais certainement pas la Guerrière de la Lumière.
La voie est libre. Il ne nous reste plus qu'à rejoindre mon maître.
??? : Qui va là ? On ne vous a jamais appris à frapper avant d'entrer chez quelqu'un ?
Y'shtola : Pourtant, nous avons bien frappé... mais ce n'était pas à la porte. J'espérais que ce serait suffisant.
Matoya : Toujours aussi téméraire, à ce que je vois. Et toujours pas la moindre onz de grâce... Décidément, il y a des choses qui ne changent pas.
Y'shtola : Que puis-je dire ? Je suis allée à bonne école...
Matoya : Tu as raison. Je me réjouis de te voir toujours aussi ardente, ma petite Y'shtola. Mais regarde-moi ça, tu es devenue une vraie femme !
... Et je devine que cette jeune personne derrière toi est la petite-fille de Louisoix, n'est-ce pas ?
Alphinaud : Aheum, son petit-fils en fait... Vous avez connu mon grand-père, Madame ?
Matoya : ... Si je l'ai connu ? Louisoix et moi, nous passions le plus clair de notre temps à nous quereller ! Ce vieux chnoque était une véritable tête de mule... Je dois toutefois reconnaître que les discussions avec lui étaient toujours passionnantes. Quant à toi, mon garçon, je t'ai connu alors que tu n'étais qu'un petit têtard.
Alphinaud : Vraiment ? Dans ce cas, laissez-moi vous dire que c'est un honneur de vous revoir.
Matoya : Épargne-moi donc ces platitudes, petit, et dis-moi plutôt ce qui vous amène dans un lieu aussi reculé. Je ne suis pas encore assez sénile pour ne pas deviner que vous avez besoin de moi.
Azys Lla... Jamais je n'aurais pensé entendre ce nom à nouveau...
Y'shtola : Vous savez donc des choses à ce sujet ?
Matoya : Tout ce qu'on peut apprendre dessus en farfouillant dans de vieux grimoires. Les Allagois ont créé cette île artificielle peu de temps avant que leur empire ne connaisse sa fin. Louisoix et moi en discutions souvent.
C'est là-bas que des technologies dangereuses, permettant de maîtriser de puissantes créatures comme les Primordiaux et les dragons, étaient étudiées... et même mises au point.
Les secrets qui reposent à Azys Lla ne doivent en aucun cas être mis au grand jour. Et vous me dites que des fous cherchent à les déterrer ?
Alphinaud : Nous avons la preuve que les Asciens sont impliqués dans cette entreprise. Nous devons à tout prix les arrêter.
Matoya : Je vois... Très bien.
Y'shtola : Vous allez donc nous aider ? Comme ça ? Je ne m'attendais pas à une réponse positive aussi rapide. Se pourrait-il que notre présence vous ait rappelé vos jeunes années ?
Matoya : Il y a des choses qui ne changent pas... Un jour, ton insolence te coûtera ta queue, ma petite Y'shtola. Tu ne pourras pas dire que je ne t'avais pas prévenue.