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Résumé ( Spoil ! )

À compléter

Déroulement

Dialogues

Dialogues ( Spoil ! )

Ysayle : Voyez-vous les tours immenses qui se trouvent à l'ouest d'ici ? Les Ishgardais les appellent Annexe Trine. C'est là-bas que les descendants des dragons anciens ont élu domicile.
Si nous voulons atteindre le pied de la montagne sacrée Sohm Al, nous ne pourrons pas nous passer de leur aide. Ils sont les seuls capables de dégager le chemin de montagne qui nous mènera à notre destination. Ne vous faites pas de soucis, leur chef est une de mes vieilles connaissances.
Pour être franche, l'agressivité des Gnathes m'inquiète beaucoup plus que tout le reste. Restons vigilants, ils sont peut-être en train de nous surveiller en ce moment même.

Ysayle : La situation n'est pas au beau fixe... On dirait qu'un nombre non négligeable de Gnathes ont décidé de se mettre entre nous et Annexe Trine.
Alphinaud : Sire Marcechamp nous avait prévenus. Qu'est-ce que des hommes-bêtes comme eux peuvent vouloir aux dragons de Dravania ? Pensez-vous qu'ils souhaitent conquérir la tour, peut-être ?
Ysayle : Je l'ignore, mais mes frères dragons sont certainement sur le qui-vive. Ils sont imposants mais leurs écailles, aussi épaisses soient-elles, ne résisteront pas éternellement aux armes à feu des Gnathes.
Cela me dérange d'agir ainsi, mais je pense sincèrement que nous n'avons pas le choix. Tous les Gnathes belliqueux que nous croiserons devront être mis hors d'état de nuire si nous voulons augmenter nos chances d'arriver jusqu'à Hraesvelgr.

Ysayle : Je regrette d'avoir été obligée de faire subir un tel sort à des hommes-bêtes qui ne m'avaient jamais causé de tort jusqu'ici. Je sais bien que je l'ai fait pour protéger mes frères mais de tels actes laissent toujours un goût amer dans la bouche.
À présent, il est temps pour nous d'entrer dans la tour. Une fois arrivés devant les dragons, gardez surtout la bouche close et laissez-moi mener les négociations.
Quant à toi, Dragon céleste, je ne veux même pas te voir bouger le petit doigt, c'est compris ?
Estinien : Je serai muet comme une tombe, ma chère Cœur-de-glace. Jusqu'à ce que le vampire en moi se réveille...
Ysayle : J'espère que je n'aurai plus à te regarder le jour où ça arrivera ! Allons-y.
Vidofnir !
Vidofnir : Ma petite Ysayle ! Tu ressemblais à un Gnathe, vue d'en-haut, et j'étais sur le point de te brûler avec mon souffle.
Ysayle : Chère Vidofnir, vous m'avez manqué. J'aurais préféré que les circonstances qui m'amènent ici ne soient pas aussi pressantes.
Vidofnir : Tu m'as l'air bien préoccupée. Parle donc et fais-moi savoir la cause de ta détresse.
... Tu voudrais que père sermonne Nidhogg et les siens ?
Ysayle : Je désire mettre un terme à cette guerre en évitant qu'il y ait davantage de violence.
Vidofnir : Ce souhait me paraît peu crédible, ma petite Ysayle, dans la mesure où un de tes compagnons possède l'œil qui a été volé à Nidhogg.
Estinien : Je n'ai pas à m'expliquer devant toi, dragon. Si c'était nécessaire, je n'hésiterais pas à arracher l'un des tiens.
Ysayle : Estinien ! Nous sommes ici pour ramener la paix !
Vidofnir : Mon père nous a commandé de ne pas provoquer la discorde chez nous, aussi je ne dévorerai pas cet humain.
Ysayle : Vidofnir, je vous en prie. Nous souhaitons transmettre nos intentions à Hraesvelgr nous-mêmes, avec nos propres mots.
Permettez-nous de le voir et ouvrez-nous la route vers Sohm Al !
Vidofnir : Tu as toujours été la bienvenue parmi nous, petite Ysayle.
Mais je dois rester ici et protéger les miens contre le dieu des Gnathes. Je ne peux pas répondre favorablement à ta demande.
Ysayle : Les Gnathes ont invoqué un Primordial !?
Alphinaud : Si par hasard nous éliminions cette menace de votre territoire, accepteriez-vous d'accéder à la requête de dame Ysayle ?
Vidofnir : Pensez-vous pouvoir réussir là où les dragons ont échoué avant vous ?
Ne fais pas de vaine promesse, mortel. Prouve-moi plutôt que vous êtes aussi audacieux dans vos actes que dans vos paroles !
Ysayle : Il semblerait que nous n'ayons d'autre choix que d'accomplir ce qu'Alphinaud a proposé. Où que nous allions, le conflit est partout...