Ouvrir le menu principal
Résumé ( Spoil ! )

Votre Maître Mog postier vous a confié votre première livraison de courrier officielle. Il s'agit d'une lettre à remettre à Baderon, gérant du Dauphin noyé, à Limsa Lominsa.

Vous avez remis la lettre à Baderon. Il attend un visiteur d'un genre un peu particulier, et a besoin d'effectuer quelques préparatifs pour sa venue. Il vous demande donc de prévenir S'dhodjbi au Dauphin noyé pour qu'elle prenne en charge ces fameux préparatifs.

S'dhodjbi suppose que l'invité dont parle Baderon pourrait être un de ses anciens ennemis revenu pour l'affronter. Qu'à cela ne tienne, vous l'attendrez de pied ferme. Vous devez aller à sa rencontre dans la Noscea centrale, cherchez-y un Roegadyn patibulaire.

Le Roegadyn que Baderon vous a chargé d'aller accueillir semble être un individu peu recommandable. Servez-vous du seau d'eau glacée que S'dhodjbi vous a confié pour l'asperger et calmer ses ardeurs.

Le Roegadyn patibulaire s'est enfui après que vous l'avez arrosé d'eau. Retrouvez-le avant qu'il ne fasse plus de dégâts.

Vous avez retrouvé le Roegadyn en fuite, qui vous a donné quelques explications sur son comportement. Il s'appelle Tylswaen et, loin d'être un ennemi de Baderon, il est au contraire un vieil ami du tavernier. Il vous apprend qu'il a oublié dans sa chambre d'hôte le cadeau qu'il destinait à son camarade, et vous prie d'aller le chercher pour lui. Allez vous enquérir de ce qui est arrivé à l'objet auprès de Staelwyrn, aux vergers d'Estival dans la Noscea centrale, à qui Tylswaen a loué une chambre la veille.

Staelwyrn vous apprend que le cadeau de son hôte se trouve sans doute encore dans la chambre des vergers d'Estival qu'il a occupée la veille. Allez la fouiller et récupérez la vieille bourse en cuir.

Vous avez trouvé la vieille bourse en cuir de Tylswaen. Ramenez l'objet au buveur étourdi près de la porte de Zéphyr.

Vous avez rapporté sa vieille bourse en cuir à Tylswaen. Il souhaite vous offrir à boire pour vous remercier. Allez parler a Baderon au Dauphin noyé pour que son ami s'acquitte de sa dette.

Malgré son attitude, Baderon semble content d'avoir revu son vieil ami. Tylswaen vous a raconté son histoire et vous a appris comment Baderon est devenu gérant du Dauphin noyé, mais malheureusement pour vous les réminiscences ont malheureusement été interrompues par l'intéressé. Il faudra peut-être attendre une autre occasion pour en savoir plus sur l'homme. À présent, allez faire votre rapport au Maître Mog postier au Bastingage.

Vous avez fait le rapport de votre mission au Maître Mog postier. Il s'est montré satisfait de votre travail consciencieux et de l'accompagnement apporté au destinataire, même après la livraison. Continuez vos efforts pour remplir les missions qu'il vous confiera à l'avenir.

Déroulement

  1. Remettre sa lettre à Baderon au Dauphin noyé.
  2. Parler avec S'dhodjbi.
  3. Parler au Roegadyn patibulaire.
  4. Arroser le Roegadyn patibulaire avec le sceau d'eau glacée.
  5. Suivre le Roegadyn patibulaire dans la Noscea centrale.
  6. Parler à Staelwyrn.
  7. Retrouver la vieille bourse en cuir.
  8. Donner la vieille bourse en cuir à Tylswaen.
  9. Parler à Baderon au Dauphin noyé.
  10. Faire un rapport au Maître Mog postier au Bastingage.

Dialogues

Dialogues ( Spoil ! )

Maître Mog postier : Bonjour, cher postier débutant ! J'ai trouvé la mission idéale pour toi, kupo ! J'aimerais que tu apportes cette lettre à Baderon au Dauphin noyé. Ce sera ton premier travail officiel en tant que postier débutant.
Tu vas devoir te frayer un chemin à travers des marins à l'haleine fétide et des aventuriers de tout poil pour remettre sa lettre au patron, kupo !
Mais avant de te laisser partir, je vais t'apprendre quelque chose. Le métier de postier ne consiste pas uniquement à livrer le courrier, kupo ! Ça va bien plus loin que ça ! Chaque lettre est l'incarnation des sentiments de celui qui l'envoie, kupo !
Toi qui es aventurier, tu as dû déjà remplir ce genre de tâches auparavant, non ? Aller d'un endroit à un autre, apporter ou demander des objets... Mais bien souvent, il s'agit de faire plus qu'une simple livraison, n'est-ce pas ?
Pour ton premier travail officiel de postier, je t'ai sélectionné une mission un peu spéciale, kupo ! Je vais rester ici jusqu'à ce que tu reviennes me faire ton rapport.

Baderon : Oh, mais c'est toi ! Ça me fait plaisir de te revoir. Je peux te dire qu'on a eu vent de tes exploits, par ici. Hum ? Tu as une lettre pour moi ?
Voyons voir, qui m'écrit... Hum...
Je vois, je vais avoir un visiteur un peu... spécial... Me voilà un peu embêté... Dis-moi, l'ami, ça m'ennuie de te demander ça, mais tu voudrais pas aller à sa rencontre dans la Noscea centrale, et le ramener ici ?
Ouf, merci, l'ami ! Je ne peux pas envoyer n'importe qui, tu comprendras vite pourquoi.
Si tu aperçois un Roegadyn patibulaire quelque part dans la Noscea centrale, près de la porte de Zéphyr, c'est sûrement lui. Désolé pour le dérangement, mais ça me rendrait bien service que tu t'occupes de lui.
Ah, et sinon... Avant de partir, va donc voir S'dhodjbi, et dis-lui de tout préparer pour la venue de ce visiteur. Elle saura quoi faire.

S'dhodjbi : ... Baderon me demande de l'aider à prrréparer l'arrivée d'un visiteur un peu spécial ? Ça, c'est encore un de ses anciens rivaux qui veut prendre sa rrrevanche, à tous les coups.
Il était merrrcenaire, autrefois... Et apparemment, il a fait les quatre cents coups à l'époque. Je ne serrrais pas étonnée que ce gars ait envie de lui refaire le portrait au nom de vieilles rancœurs, car il y en a pas mal qui lui en veulent pour de vieilles histoires.
Voilà ce que tu vas fairrre. Tu vas le rafraîchir avec une douche glacée, et lui donner une bonne correction, tu veux bien ? Ça devrait le calmer, des fois qu'il aurait envie de s'en prendre au patron.
Prrrends cette eau glacée, et mets-toi en route !

Roegadyn patibulaire : Z-z-zalut, mon pote ! (Hic !)
T'as l'air d'avoir d'la bouteille zympa, là... T'veux pas m'en donner un p'tit coup ? Fais tourner... Allez quoi, fais pas l'égoïzte, zois zympa ! (Hic)
Marchand de vin apeuré : Ah! Monsieur l'aventurier ! Aidez-moi ! Cet homme est ivre comme une soupe ! Ces bouteilles sont très chères, s'il me les casse ou me les vide, je serai ruiné ! Je vous en prie, neutralisez-le ou aidez-le à reprendre ses esprits !

Roegadyn patibulaire : Ouhaaa ! C'est glacé !! J'me tire ailleurs si c'est ça !
Marchand de vin apeuré : Merci de m'avoir sauvé ! Cet homme est un danger public, il faut l'arrêter !
Ivre, il risque de s'en prendre à d'autres innocents !

Roegadyn patibulaire : Ah, mais je te reconnais ! C'est toi qui m'as aspergé tout à l'heure ! Je suis désolé, j'avais trop bu... J'ai tendance à me laisser un peu aller, dans ces moments-là.
Moi ? L'ennemi de Baderon ? Ça va pas, la tête !?
Je m'appelle Tylswaen, et je suis un de ses plus vieux amis.
Tylswaen : ... Ah, je comprends mieux. Comme tu as pu le voir, j'ai parfois du mal à me retenir quand j'ai une bonne bouteille à portée de main. Baderon a dû deviner que je boirais quelques verres en chemin, c'est pourquoi il a voulu que je sois “encadré”...
Lui et moi, on était frères d'armes à l'époque où on était mercenaires.
Enfin, cette petite douche m'a remis les idées en place. Si tu veux bien, j'aimerais que tu me guides jusqu'à l'établissement de ce bon vieux Baderon.
... Ah, mince ! Je viens de me rendre compte que j'ai oublié le “cadeau” que j'ai préparé pour mon ami! Il a dû rester à l'auberge.
Il faut absolument que je le récupère, mais... aïe! J'ai dû me fouler la cheville en marchant en zigzag jusqu'ici.
Toi qui m'as l'air d'être quelqu'un de serviable, tu ne voudrais pas aller aux vergers d'Estival et demander à Staelwyrn s'il n'aurait pas vu ma bourse ? C'est à lui que j'ai loué une chambre hier soir. S'il l'a encore, ramène-la-moi au plus vite, d'accord ?

Staelwyrn : Salut, l'ami ! Bienvenue aux vergers d'Estival, une exploitation fondée par un ancien pirate qui n'est autre que... moi ! Qu'est-ce que je peux faire pour toi ?
Oh, alors comme ça, un client bien imbibé a oublié sa bourse en partant ? C'est pas de chance, ça.
J'ai pas encore fait le ménage des chambres, alors la bourse de ce pauvre bougre doit encore y être. T'as qu'à aller jeter un œil toi-même et te servir.

Tylswaen : Tu peux récupérer ma bourse aux vergers d'Estival ? Elle contient une vieille pièce...
Ah, merci !! Hein ? Tu veux savoir pourquoi je veux donner cette vieille pièce à Baderon ? Je vais te raconter, mais allons déjà le retrouver.
C'est que j'ai la gorge sèche, et la bibine m'appelle ! Un garde m'a indiqué le chemin, alors je vais y aller tout seul comme un grand, et au pas de course ! J'ai une jolie bouteille qui m'attend, hé hé ! On se retrouve là-bas, va voir Baderon en arrivant !

Baderon : Ah, désolé de t'avoir confié cette tâche un peu bizarre. Mon ami te paye un coup à boire, je me trompe ? Attends, je vais sortir ma meilleure bouteille !
Tylswaen : Quelle histoire ! Ton vieil ami te rend visite, et tu lui envoies ce genre de comité d'accueil, en le chassant comme un malpropre ? Ah bravo !
Baderon : Pfff, chaque fois que tu viens, tu bois tout mon stock avant que j'aie le temps de dire ouf, et je suis obligé de fermer boutique !
S'dhodjbi : C'est moi qui vous paye ce verre-ci, puisque c'est à cause de moi que notrrre ami a voulu vous chasser. Je vous ai pris pour un de ces coupe-jarrets qui ont une dent contre le patron ! Je suis vraiment navrée de cette méprise...
Tylswaen : Ha ha, t'en fais pas, ma jolie ! Baderon et moi, c'est l'amour vache, on passe plus de temps à s'disputer qu'à discuter ! Et puis, une belle fille comme toi peut bien me faire subir tous les mauvais traitements qu'elle veut ! Mouahahah !
S'dhodjbi : Hi hi hi, merrrci ! Mais au fait, votre cadeau, c'était cette vieille pièce ? Elle n'a pas l'air d'avoir une grande valeur, vue comme ça, sans vouloir être vexante.
Tylswaen : Cette pièce a une histoire... comme tu peux t'en douter, ça remonte à l'époque où nous étions tous les deux mercenaires. À nos débuts, on était assez maladroits, et on enchaînait les bourdes. On était souvent la risée de nos camarades... si bien que l'un d'entre eux nous a fait une promesse.
Il nous a dit que si on avait la chance de vivre plus vieux que lui, il nous donnerait chacun une pièce. Tu sais que l'image de Nymeia, la Fileuse, est gravée sur les pièces de cent gils ? C'est la Déesse de la fortune, autrement dit ces pièces sont des porte-bonheur.
Il se trouve que notre camarade est mort de maladie, il y a quelque temps. Je suis allé à son chevet un peu avant qu'il meure, et il m'a remis les deux pièces comme promis, avec pour instruction d'apporter la sienne à Baderon.
Ah, pardon, je me laisse aller à la nostalgie... Tout ça pour dire qu'à l'époque, j'étais loin d'imaginer qu'un type comme Baderon deviendrait un brillant mercenaire ! Personne n'aurait pu l'imaginer.
S'dhodjbi : Mais alorrrs, pourquoi il s'est retrouvé à faire ce travail barbant de responsable de guilde des aventuriers, s'il était si fort que ça ?
Tylswaen : Quoi, il ne t'a jamais raconté ça ? Hé ben, c'est une vieille histoire, mais bon...
Il y a une vingtaine d'années, les conflits se raréfiaient en Éorzéa, ce qui n'était pas bon pour les affaires des mercenaires, évidemment... Un certain capitaine, qui s'était particulièrement distingué dans le métier, a donc décidé de fonder la guilde des aventuriers.
Mais son fils ne voulait rien avoir à faire avec la guilde de son père. Il s'était même mis en tête de surpasser son père dans le mercenariat ! Vous imaginez ça ?
Est-ce qu'il s'est lassé, ou est-ce qu'il a estimé avoir atteint son objectif ? Je l'ignore, toujours est-il qu'un jour, l'enfant prodigue est revenu et a décidé, contre toute attente, d'accepter de travailler dans la guilde.
S'dhodjbi : Hein !? Mais alorrrs, le père de Baderon...!?
Baderon : Dis donc, S'dhodjbi, t'es cliente ou t'es serveuse aujourd'hui ? Je te paie pas pour bavarder avec les clients, alors remets-toi au travail !
S'dhodjbi : Oui, chef !
Tylswaen : Bon, je vais me rentrer, moi. J'ai assez bu comme ça, et puis, apparemment, il y a un certain patron qui est jaloux quand on discute avec sa serveuse préférée... Allez, à la revoyure !
Baderon : Ouf, l'ouragan est enfin passé ! M'enfin, ça me fait plaisir de te voir, alors reviens de temps en temps ! La maison t'offrira un pot... mais juste un !

Maître Mog postier : Ah, te voilà ! Alors, comment s'est terminée ta première mission en tant que postier ?
Tu as même appris des choses sur le passé de maître Baderon ? Bien joué, kupo !
Je vois que tu as bien retenu les bases du travail de postier, kupo ! Un bon facteur doit comprendre les sentiments qui animent celui qui envoie une lettre !
Je vais pouvoir te confier des courriers pour des gens plus difficiles, dans des endroits plus éloignés, kupo !
Tu ne seras plus obligé de venir me faire un rapport, la prochaine fois, kupo ! Continue comme ça !