Papy fait de la résistance
Papy fait de la résistance | Niveau 50 |
PNJ client : Hozan
Thanalan occidental, Baie des Vêpres (13:14)
Prérequis
Classe : Combattants et mages
Les petites canailles (Niveau 50)
Description
Hozan semble profondément agacé. Se serait-il passé quelque chose pendant que vous cherchiez les enfants ?
Récompenses
Un objet au choix parmi :
Teinture bleu guède x3
Teinture lavande x3
Teinture vert prairie x3
Pièce de cuivre allagoise x3
Déverrouille
L'idole des jeunes (Niveau 50)
Résumé ( Spoil ! )
Hozan vous a expliqué que son père refuse de monter à bord de la caravane chocobo car il ne supporte pas l'odeur de ces animaux. Les Éorzéens auraient-ils une astuce pour neutraliser ces exhalaisons fétides ? La serveuse de la taverne pourrait peut-être vous renseigner. D'après Hozan, elle aurait longuement caressé le chocobo de la palefrenière sans sourciller.
D'après Folclind, il serait possible de masquer l'odeur des chocobos en pulvérisant du parfum sur leur plumage. Utilisez le flacon de parfum de fleurs de pêcher qu'elle vous a remis sur les chocobos situés à l'entrée de la baie des Vêpres.
Voilà qui est fait. Laissez le parfum sécher quelques secondes, puis vérifiez que les chocobos sentent la fleur.
Vous n'avez pas pulvérisé suffisamment de parfum pour masquer complètement l'odeur des chocobos. Hors de question d'en verser davantage sur ces animaux à l'odorat sensible. Interrogez le cocher hyur et demandez-lui s'il n'a pas une astuce.
Le cocher vous a donné un foulard sur lequel vous avez versé quelques gouttes de parfum. Ce dernier dégage maintenant une délicate odeur de fleurs de pêcher. Retournez voir Hozan et donnez-le-lui.
La solution au problème était si simple que Hozan s'en veut de ne pas y avoir pensé plus tôt. Celui-ci est immédiatement parti remettre le foulard à son père. Allez sur le quai de la baie des Vêpres et parlez-lui.
Le père de Hozan est sous le charme du foulard parfumé, dont l'odeur lui rappelle son pays... La caravane peut maintenant partir pour Ul'dah.
Déroulement
- Parler à la serveuse de la taverne.
- Verser le parfum sur le chocobo nauséabond.
- Sentir le chocobo.
- Parler au cocher hyur.
- Donner le foulard à Hozan.
- Parler à Hozan.
Dialogues
Dialogues ( Spoil ! )
Hozan : Non, mais dites-moi que je rêve ! Tout le monde s'est donné un mal fou pour organiser le voyage jusqu'à Ul'dah, et quand tout est enfin prêt, ce vieux fou sénile qui me sert de père refuse de partir !
C'est que Môôôsieur vient de réaliser qu'il ne supporte pas l'odeur des chocobos. Oui, vous m'avez bien entendu. Il m'a même dit qu'il préférait passer le restant de ses jours à la baie des Vêpres plutôt que de monter à bord d'une caravane tractée par ces bêtes.
Certes, il est vrai que ces volatiles sentent mauvais, mais il n'y a pas de quoi en faire tout un pataquès non plus... Enfin, quand mon père a une idée en tête, il ne l'a pas ailleurs, comme on dit. Je dois trouver un moyen pour le faire changer d'avis, et vite.
Les gens d'ici doivent forcément avoir un truc pour supporter leur odeur. Il paraît que les femmes ont l'odorat plus développé que nous. Peut-être que la serveuse de la taverne saurait nous renseigner ? Je l'ai vue caresser le chocobo de la palefrenière sans sourciller, tout à l'heure.
Folclind : Comment je fais pour supporter l'odeur des chocobos ? Oh, vous savez, avec le temps, j'ai fini par m'habituer. Après, il arrive que certaines bêtes sentent plus fort que d'autres. Quand c'est le cas, je pulvérise toujours un peu de ce parfum sur leur plumage.
Cela dit, je vous avouerais que cette méthode n'est pas vraiment adaptée à un trajet en caravane. L'attelage est toujours constitué de deux ou trois chocobos, ce qui décuple les odeurs. Entre ça et la carriole qui ballote au gré de la route, je finis toujours par être malade...
Cocher hyur : Eh ! Bas les pattes !
(snif) (snif) Vous avez mis du parfum sur mes bêtes !? Non, mais pour qui vous... Oh, mais c'est vous ! Dites donc, c'est pas parce que vous m'avez tiré d'affaire l'autre fois qu'il faut vous croire tout permis !
Les chocobos sont des animaux très sensibles et certains réagissent très mal aux stimuli olfactifs trop marqués !
... Bon, vous avez de la chance, ces deux-là n'ont pas l'air d'être trop affectés.
J'imagine que vous cherchiez à masquer leur odeur, n'est-ce pas ? Étant donné que ça empeste la fleur de pêcher maintenant, j'aurais tendance à dire que ça a fonctionné, mais ce n'est que mon avis. Vous feriez mieux de vérifier par vous-même.
Cocher hyur : Ha ha ha ! Vous pensiez vraiment arriver à couvrir l'odeur de deux chocobos avec cette minuscule bouteille de parfum !? Ha ha ha !
Allez ! Comme je suis sympa, je vais vous donner un tuyau.
Cocher hyur : Est-ce que vous savez pourquoi les Gobelins portent un masque ?
... Non ? Eh bien, je vais vous le dire : c'est parce qu'ils ne peuvent pas respirer l'air d'Éorzéa tel quel ! Du coup, ils contournent le problème en le filtrant avec des plantes de leur pharmacopée. Il vous suffit donc de les imiter, et le tour est joué !
Si vous versez un peu de parfum sur ce foulard et que vous le mettez sur votre nez, l'odeur de mes beaux oiseaux ne vous incommodera plus. C'est aussi simple que ça! Alors, on dit merci qui ?... Merci Bibi ! Ha ha ha !
Hozan : Je me demande comment les Éorzéens font pour supporter une odeur aussi nauséabonde ? C'est peut-être inné chez eux ?
... Un foulard imprégné de parfum ? En voilà, une idée géniale ! C'est tellement bête que je m'en veux de ne pas y avoir pensé moi-même ! Je vais de ce pas le porter à mon père.
Si avec ça il refuse encore de monter à bord de la caravane, je crois que je vais me fâcher pour de bon !
Hozan : Votre plan a fait mouche ! Mon père a été complètement séduit par ce foulard.
Ce parfum lui rappelle notre pays, semble-t-il. Il faut dire que la culture de la pêche est très répandue à Doma, à tel point que le commerce de ce fruit est notre source principale de revenus. Enfin, était notre source principale de revenus...
Et voilà que ça me reprend... Il va falloir que j'apprenne à couper les liens avec le passé pour vivre l'instant présent pleinement. Non seulement moi, mais tous mes compatriotes aussi.