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Le grand banquet

10 313 octets ajoutés, 17 juin 2015 à 15:03
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|niveau=50
|quêtePrecedente=Une bouteille sale à la mer//
|pnj=Momodi
|updateId=2.55
|résumé=Momodi vous a appris que la dame d'honneur de la sultane Nanamo avait quelque chose d'important à vous dire. Elle vous attend au district politique, près de la salle où se déroule le grand banquet. Prenez connaissance de ce qu'elle a à vous dire avant d'aller festoyer avec tous vos amis.
La dame d'honneur de Nanamo vous a conduite auprès de sa maîtresse. Durant votre entretien avec la sultane, celle-ci vous a annoncé qu'elle comptait abdiquer son trône d'Ul'dah et mettre un terme définitif au sultanat. Elle a estimé que vous étiez la personne la mieux placée pour aider Raubahn à mener la barque uldienne après son retrait de la vie politique. Vous voyant prêt à accepter cette lourde tâche, la souveraine a esquissé un sourire bienveillant et a porté à ses lèvres la coupe préparée par sa dame d'honneur, afin de sceller votre accord. Mais soudain, le destin a frappé : Nanamo, les yeux révulsés, s'est effondrée sur le sol après un spasme très violent. Au même moment, Teledji Adeledji a fait irruption dans la pièce, suivi des lames de cuivre. Voyant le corps sans vie de la sultane, il vous a immédiatement accusé de l'avoir empoisonnée, et en a profité pour inclure tous les Héritiers de la Septième Aube dans le complot. Les mains liées, vous avez été emmené dans la salle du banquet pour que tous les invités puissent voir le prétendu régicide et ses complices. Cependant, Teledji n'avait pas prévu que le général Aldynn perdrait complètement le contrôle de lui-même en apprenant ce qui s'était passé. Le monétariste, trop sûr du succès de son méfait, n'a pas manqué d'ironiser sur la vie et la mort de Nanamo Ul Namo. Bien mal lui en a pris puisque Raubahn, dans un éclat de colère sans précédent, s'est précipité pour lui asséner un coup d'épée qui l'a immédiatement envoyé aux sept enfers. Quelques instants plus tard, il s'apprêtait à infliger le même châtiment à Lolorito, quand Ilberd est venu s'interposer entre les deux hommes et a tranché le bras gauche vengeur de son ancien frère d'armes mhigois. Un combat féroce s'en est alors suivi entre Raubahn et son traître d'ami, au cours duquel les Héritiers n'ont eu d'autre choix que de prendre la fuite, avec les lames de cuivre et les Braves du Cristal renégats à leurs trousses. Après un long périple dans les soutesouterrains uldiens pendant lequel les Héritiers, par petits groupes, se sont sacrifiés pour empêcher que vos ennemis ne vous rattrapent, vous vous êtes retrouvé en duo avec Minfilia. Entendant tout à coup la voix d'Hydaelyn, votre chef vous a annoncé que vous seul étiez capable de porter la lumière de l'espoir, et a rebroussé chemin pour combattre aux côtés des autres. Parvenu enfin à l'air libre, vous y avez rejoint un Alphinaud complètement déboussolé ainsi que Pipin Tarupin, vice-maréchal des Immortels et fils adoptif de Raubahn. C'est alors que Brendt, le marchand avec qui vous aviez fait un bout de chemin alors que vous n'étiez encore qu'un simple inconnu, vous a proposé de monter dans sa calèche afin qu'il puisse vous mettre à l'abri. Après que vous êtes arrivés à Roncenoire, il vous a également assuré qu'une personne de confiance viendrait vous secourir dans très peu de temps. Parlez à Pipin.
La fameuse personne de confiance n'était autre que Cid ! Jugeant que c'était la meilleure décision, Pipin vous a annoncé qu'il allait retourner à Ul'dah pour s'assurer que la situation ne s'était pas trop dégradée, mais aussi pour prévenir les dirigeants de Gridania et de Limsa Lominsa de ne surtout pas vous pourchasser tant que votre culpabilité ne serait pas prouvée noir sur blanc. Alphinaud, sortant quelque peu de sa torpeur, a estimé que l'endroit le plus sûr pour vous réfugier et attendre la fin de l'orage était le Coerthas. Dirigez-vous vers le camp de la Tête du dragon pour y retrouver Haurchefant et lui demander son aide.
'''Papalymo''' : Nous allons les retenir. Dépêchez-vous ! Trouvez ces fameux passages secrets !
'''Thancred''' : Minfilia ! Nous devons faire vite !
--
'''Yda''' : Ça... tu vas me le payer !
'''Papalymo''' : Ça va, Yda ?
... Bon sang, ils sont trop nombreux !
'''Yda''' : Ne t'inquiète pas pour moi ! Je pourrais faire ça toute la journée ! Et toi, tu t'en sors ?
'''Papalymo''' : Je vais pas pouvoir tenir longtemps !
'''Yda''' : Les Héritiers sont ici pour protéger ce continent du mal qui cherche à le détruire ! Nous ne laisserons personne nous arrêter !
'''Papalymo''' : Si vous croyez que nous allons laisser Éorzéa être régie par vos maîtres, vous vous fourrez le doigt dans l'œil !
'''Yda''' : Je suis désolée de t'avoir entraîné là-dedans, Papalymo...
'''Papalymo''' : Bah, ce n'est pas la première fois... et je doute que ce soit la dernière.
Finissons-en avec eux !
'''Yda''' : J'étais impatiente que tu me dises ça !
---
'''Minfilia''' : J'ignorais l'existence d'une telle voie d'eau sous Ul'dah.
'''Y'shtola''' : Elle a probablement été aménagée pour l'usage que nous en faisons maintenant. L'architecture est plutôt ancienne... héritée des Sildiens, je dirais.
'''Poursuivant''' : Par ici !
'''Thancred''' : Eh bien, ça ne leur a pas pris beaucoup de temps. Ces tunnels ne sont apparemment pas aussi secrets que je l'espérais.
'''Y'shtola''' : Continuez, tous les deux. Thancred et moi allons rester en arrière.
'''Minfilia''' : Qu'est-ce que vous allez faire !?
'''Y'shtola''' : Ne t'inquiète pas. Ce qui importe, c'est que la lumière de l'aube continue de briller.
'''Thancred''' : N'ayez crainte, Minfilia. J'ai bien l'intention de vous revoir.
'''Minfilia''' : Mes amis...
'''Thancred''' : Allez-y, vite !
Les chances ne sont pas vraiment de notre côté...
'''Y'shtola''' : Leur nombre n'importera plus lorsque j'aurai fait s'effondrer le tunnel sur leurs têtes... Je dois toutefois avouer que je ne suis pas émerveillée par l'idée d'être ensevelie avec toi pour toujours.
'''Thancred''' : Nombre de demoiselles tueraient pour avoir cette chance !
Tout va pour le mieux... Mais je crois qu'il est temps, Y'shtola !
'''Y'shtola''' : Je suis prête !
Pardonne-moi, Y'mhitra...
'''Thancred''' : Adieu, douce Minfilia...
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'''Minfilia''' : Hydaelyn... Elle s'adresse à moi.
Non !
Je dois rester ici... seule.
Je t'en supplie, tu es le Guerrier de la Lumière ! Tu es l'espoir ! Pour nous Héritiers et pour Éorzéa !
Tant que ta flamme continuera de brûler, la lumière de l'aube pourra être rallumée, encore et encore.
Tu dois t'échapper, et sauver cette terre des ténèbres qui la menacent !
Il n'y a pas d'autre solution. Sans lui, tout espoir est perdu...
---
'''Alphinaud''' : Je suis heureux de vous savoir sain et sauf, mon ami ! Mais où sont les autres ?
Maudit Teledji Adeledji !
Il a bien joué son jeu ! J'ai vraiment cru que les Braves du Cristal étaient à mes ordres jusqu'à ce que je sente une épée dans mon dos.
'''???''' : Nous aurons tout le temps de discuter de ceci plus tard. Pour le moment, nous devons nous éloigner d'Ul'dah au plus vite.
'''Brendt''' : Eh, mais c'est ce bon vieux héros des Héritiers de la Septième Aube ! J'ai l'impression que tu as besoin de faire une petite promenade en caravane, mon ami.
Montez vite ! Il ne faut pas s'éterniser ici !
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'''Brendt''' : J'étais en train de me réapprovisionner à la baie des Vêpres, lorsque je suis tombé sur votre sœur, voyez-vous. Elle m'a dit que vous aviez des pépins à Ul'dah et besoin qu'on vous tire de là.
Je me suis dit que ces ruines feraient une planque idéale, et j'ai donc commencé par chercher par ici... et devinez quoi, c'est là que je vous ai trouvé !
Si j'en juge par la lueur des lanternes qui venaient de la cité, eh bien je suis arrivé au bon moment. Un peu plus tard, et vous étiez fait comme un rat !
Cependant, je dois dire que je n'espérais pas te trouver aussi à cet endroit, mon ami.
'''Alphinaud''' : Et moi qui pensais veiller sur Alisaie, j'ai bien l'impression que c'est elle qui gardait un œil sur son grand frère. J'aurais vraiment dû être plus vigilant...
'''Brendt''' : À qui ai-je l'honneur, jeune homme ?
'''Pipin''' : Je suis Pipin Tarupin, vice-maréchal des Immortels.
J'ai passé ces dernières lunes sur le front mhigois, mais un appel m'a fait revenir d'urgence à Ul'dah.
J'avais à peine foulé le pavé de la Cité d'or lorsque les cris ont commencé à résonner dans la rue. J'ai immédiatement cherché à en savoir plus, et c'est comme ça que j'ai trouvé messire Alphinaud. Son arrestation ne m'a pas semblé justifiée.
Ce sont clairement les monétaristes qui sont derrière ce coup. Je savais à quel point ils étaient avares et corrompus, mais je dois admettre avoir été surpris par la manière dont ils ont agi...
'''Brendt''' : ... Vous ne seriez pas le fils du général, par hasard ?
'''Pipin''' : Tout à fait. Son fils adoptif, bien sûr. J'ai appris ce qui lui est arrivé seulement lorsque nous avons quitté Ul'dah.
Une fois que je vous aurai escortés en lieu sûr, je compte bien retourner là-bas et le tirer de cette situation insensée.
'''Brendt''' : Vous n'aurez pas à aller plus loin que Roncenoire. Nos fugitifs ont un ami qui les attend là-bas.
'''Alphinaud''' : J'avais de grands projets pour le salut d'Éorzéa...
Mais en fin de compte, c'est moi qui ai besoin d'être secouru...
'''Brendt''' : Je vais continuer à surveiller le pourtour de la cité. Avec un peu de chance, je tomberai peut-être sur d'autres rescapés en chemin. Quant à vous, un homme de confiance ne devrait pas tarder à vous rejoindre ici même.
... Surtout, ne baissez jamais les bras. Continuez le combat et la lumière au bout du tunnel finira par briller, j'en suis certain !
Allez, on y va !
 
'''Pipin''' : Je vous envie vraiment, vous savez... On dirait que vos camarades feraient n'importe quoi pour vous. Ce n'est pas tous les jours qu'un marchand arrête de travailler pour aider quelqu'un, surtout à Ul'dah.
Mon père m'a beaucoup parlé de vous, Messire <joueur>.
À chaque fois qu'il me contait vos exploits, je n'avais qu'une envie, celle de vous dire à quel point je vous admire. Quel dommage que notre rencontre ait lieu dans des circonstances aussi tragiques...
Messire Alphinaud, je vous en prie... Vous devez absolument arrêter de broyer du noir. Nos ennemis veulent nous détruire physiquement et psychologiquement, mais nous ne devons pas les laisser avoir le dessus.Vous avez probablement l'impression d'être au fond du gouffre en ce moment, mais essayez de vous concentrer sur le bon côté des choses. À partir de maintenant, la situation ne peut que s'améliorer.
'''Alphinaud''' : Je suppose que vous avez raison...
'''???''' : Désolé d'être en retard !
'''Alphinaud''' : ... Cid !? Vous, ici ?
'''Cid''' : Un certain marchand m'a contacté pour me dire que les choses ne s'étaient pas vraiment passées comme prévu durant le banquet. J'ai donc quitté le Mor Dhona aussi vite que j'ai pu pour vous rejoindre.
'''Pipin''' : Ouf, nous sommes sauvés ! Pour être franc, je ne sais pas ce qu'il serait advenu si nous avions été forcés de passer toute la nuit dehors...
'''Cid''' : Allons, je n'allais pas vous laisser moisir dans le désert, tout de même ! L'Entreprise nous attend à quelques minutes d'ici. Donnez-moi une destination et je vous y emmène en moins de temps qu'il ne faut pour le dire !
'''Pipin''' : Hmm... Le mieux, ce serait de fuir aussi loin que possible d'Ul'dah et des Braves du Cristal. Mais où ?
'''Alphinaud''' : ... Je ne vois qu'un seul endroit possible : le Coerthas. Les terres de glace qui abritent la sainte Cité d'Ishgard sont bien trop éloignées pour rentrer dans la sphère d'influence de nos ennemis.
'''Cid''' : Bien reçu, Alphinaud ! Dans ce cas, autant filer d'ici immédiatement !
'''Pipin''' : J'espère que tout ira bien pour vous. En ce qui me concerne, je dois retourner à Ul'dah pour m'assurer que la situation ne s'est pas trop dégradée.
Les Héritiers de la Septième Aube ont certainement été mis sur la liste des criminels les plus recherchés d'Éorzéa. Il faut vite que je prenne contact avec les dirigeants de Gridania et de Limsa Lominsa afin qu'il ne vous arrive rien pendant votre voyage.
Lorsque le peuple apprendra que les sauveurs d'Éorzéa sont accusés à tort d'une infamie sans précédent, il risque de ne pas être content du tout. Cela devrait calmer les ardeurs des monétaristes au moins pendant un certain temps.
'''Alphinaud''' : Merci infiniment, Pipin. Nous comptons sur vous.
'''Pipin''' : C'est tout naturel, voyons. Si mon père vous tient en si haute estime, ça ne peut pas être sans raison. Mon devoir est donc de vous aider coûte que coûte, aussi bien pour lui que pour dame Nanamo. Allez-y avant que nous nous fassions repérer !
'''Cid''' : Vite, montez ! On décolle tout de suite !
'''Alphinaud''' : Mettons-nous immédiatement en route pour le camp de la Tête du dragon, <joueur>. Notre avenir est entre les mains de sire Haurchefant.
 
'''Haurchefant''' : <Joueur>, tu es enfin là ! Si j'ai bien compris ce que m'a raconté messire Alphinaud, j'ai bien peur que vous soyez dans de beaux draps... Mais les draps, ça se lave, ha ha ! Blague à part, je suis sûr que nous parviendrons à trouver une solution.
Pour tout te dire, le Coerthas a lui aussi connu des jours meilleurs. Laisse-moi d'abord te mettre au courant de ce qui s'est passé chez nous.
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