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Résumé ( Spoil ! )

Luciane aimerait que vous alliez parler à Leih et à Silvairre. Commencez par Silvairre, que vous trouverez à la guilde des archers.

Silvairre semble décidé à en découdre avec Pawah Mujuuk, avec qui il a une vieille dette à régler. Il a résolu de quitter la guilde pour partir à sa poursuite. Parlez maintenant à Leih pour savoir ce qui la tracasse.

Leih a décidé de quitter la guilde des archers. En guise d'adieu, elle veut vous révéler quelque chose en privé. Allez la retrouver dans la Forêt du sud, au lieu de rendez-vous.

Leih veut que vous lui fassiez une démonstration de vos talents d'archer, affirmant qu'elle a besoin de comprendre d'où vient votre force. Vous allez devoir l'affronter, si vous voulez l'aider dans sa quête intérieure. Rendez-vous au Bannock, dans la Forêt centrale, et parlez-lui lorsque vous serez prêt.

Après votre combat, Leih a enfin réalisé l'importance de l'archerie, et la raison pour laquelle vous l'avez battue. Elle décide de rester à la guilde. Allez maintenant raconter à Luciane les événements.

Luciane a immédiatement compris ce que vous aviez fait pour Leih en voyant l'expression sur son visage. Elle espère que vous continuerez de servir la guilde et de venir en aide à vos camarades, comme aujourd'hui. Poursuivez l'entraînement en portant votre attention sur le regard et l'ouverture d'esprit.
* Luciane propose la prochaine quête aux archers de niveau 30.

Déroulement

  1. Parler à Silvairre.
  2. Parler à Leih Aliapoh.
  3. Retrouver Leih au rendez-vous dans la Forêt du sud.
  4. Parler à Leih au Bannock.
    • Vous entrez dans un combat instancié limité au niveau 29 dans lequel vous devez affronter Leih.
    • Vers 50% de vie elle fera apparaître un faucon qu'il n'est pas nécessaire de tuer sous peine d'en voir un autre apparaître juste après la mort du premier. Concentrez-vous sur Leih.
  5. Retourner voir Luciane.

Dialogues

Dialogues ( Spoil ! )

Luciane : Ah, <joueur>, j'ai quelque chose à vous demander. Il s'agit de Silvairre et de Leih ; ils ne sont pas au mieux en ce moment.
Mais... hum, en fait, il vaudrait mieux qu'ils vous expliquent eux-mêmes ce qui ne va pas. Je compte sur vous pour leur venir en aide.
Pouvez-vous aller les voir ? Vous n'avez qu'à commencer par Silvairre.

Silvairre : Pardon ? Luciane vous envoie me parler ? Peuh ! Qui lui a demandé de se mêler de ça ?
De toute façon, elle n'aura plus l'occasion de le faire à l'avenir. Je quitte la guilde.
Je vais partir à la poursuite de Pawah Mujuuk la braconnière. Je refuse de la laisser s'enfuir encore une fois, alors que même les vigiles sombres et les flèches divines n'arrivent pas à mettre la main dessus.
Mais j'y pense, vous ne connaissez pas l'origine de mon départ des flèches divines...
Figurez-vous que j'ai traqué Pawah lorsque j'étais moi-même une Flèche, et que je l'ai laissée filer. Elle prétendait vouloir venir en aide à ses compagnons blessés, mais c'était un odieux mensonge.
En faisant confiance à une braconnière sans foi ni loi, j'ai failli à mon devoir de flèche divine, et j'ai fait honte à ma Cité. Il fallait que j'en accepte les conséquences.
Mais un vagabond comme vous ne comprend sans doute pas de tels sentiments...
Je ne vais pas partir immédiatement, mais seulement lorsque j'aurai rassemblé un peu plus d'informations et que les circonstances me sembleront propices. Cela ne devrait pas tarder.
Mais puisque vous avez assez de temps à perdre pour écouter les gens vous raconter leur vie, allez plutôt parler à la poltronne de Miqo'te qui me sert de camarade de guilde. Sa tête d'enterrement ne fait rien de bon pour le moral des troupes.
Enfin, peu m'importe ce qui lui arrive...

Leih Aliapoh : Dis, <joueur>, tu te souviens de ta ville natale ? Tu n'as jamais eu envie d'y rrretourner ?
Moi, je viens d'un petit bourg au beau milieu de la forêt. On y vivait heureux, même si on n'était pas rrriches. Mais le Fléau a tout gâché...
Tout a été détruit... J'ai dû me réfugier à Gridania pour surrrvivre. Et commencer une autrrre vie dans une ville inconnue, sans connaître personne, alors que la Cité était elle-même sinistrée...
La seule chose sur laquelle je pouvais encorrre compter, c'était ma technique de tir à l'arc. C'est grâce à elle que je suis ce que je suis aujourd'hui.
Mais Pawah Mujuuk, elle, n'a pas rrréussi à s'en sortir en restant dans le droit chemin.
Silvairre a peut-êtrrre raison quand il dit que je ne sers à rien dans cette ville. Le moment est sans doute venu pour moi de prendre mon destin en main.
Je vais quitter cette guilde. Merci d'avoir été mon camarade pendant quelque temps, <joueur>.
J'aimerais te demander une derrrnière faveur.
Je voudrais te dire où je vais, mais pas ici.
Tu voudrais bien me rrretrouver seul dans la Forêt du sud ? Nous pourrons parler tranquilles, là-bas.

Leih Aliapoh : Arrêtez ! Cet aventurier n'est pas notrrre ennemi !
Pawah Mujuuk : Te voilà ! Merrrci. J'étais sûre que tu répondrais à mon invitation.
Qui est ce type ?
Leih Aliapoh : C'est un aventurier de la guilde des archers. Mais ce n'est pas pourrr ça que je l'ai fait venir.
Pawah Mujuuk : Tu veux qu'il nous rrrejoigne ?
Leih Aliapoh : Non, je voulais simplement lui dirrre adieu.
<Joueur>... Mon échec contre Pawah me l'a fait comprendre. Ma place n'est pas dans cette ville.
Les Gridaniens et moi, nous n'arriverons jamais à nous comprrrendre. C'est dans la forêt que je peux briller, et faire honneurrr au tir à l'arc de la Tribu de la lune. L'archerie est ma seule patrie.
Voilà pourrrquoi j'ai décidé de rejoindre Pawah et les siens. Je t'en prie... ne dis rien à Luciane et à Silvairre.
Samael !!
Pawah Mujuuk : Humpf ! Moi qui espérrrais que tu accepterais sagement... pour ton propre bien. Mais qu'importe ! Nous n'avons plus le choix.
Débarrassez-moi de lui !
Leih Aliapoh : Quoi !?
Pawah Mujuuk : Tu as rompu tout lien avec la guilde. Quelle rrraison avons-nous d'épargner un aventurier sans importance ?
Leih Aliapoh : Non !! <Joueur> est mon...
Pawah Mujuuk : Il suffit, Leih Aliapoh. Les sentimentaux dans ton genre n'ont pas leur place parmi nous. Tu as perrrdu tes griffes de chasseresse, on dirait.
Notre bande n'a que faire de chasseuses aux griffes élimées. Tu m'as déçue... Enfin, j'accepte tout de même de te laisser filer sans demander ton reste.
On rrrentre à la base. Quant à toi, t'avise pas de nous suivre, compris ?
Leih Aliapoh : <Joueur>... Comment des aventuriers sans attaches trouvent-ils la motivation de se battre ?
Et pourrrquoi es-tu si fort ? Qu'est-ce que tu ressens, qu'est-ce que tu vois, quand tu tends l'arc ? Où puises-tu cette force ?
Dis-le-moi... montre-le-moi ! J'ai besoin de comprrrendre, je veux savoir d'où te vient ta force, toi qui es loin des tiens ! Nous allons nous battre.
Je me donne une dernièrrre chance, et si même après t'avoir combattu je ne trouve pas la réponse, alors je renoncerai au tir à l'arc pour toujours.
Quand tu seras prêt, viens me voir au Bannock.

Leih Aliapoh : <Joueur>, tu es prêt ?
Je veux que tu donnes tout dans ce combat, alorrrs surtout, ne retiens pas tes coups !

Leih Aliapoh : Ha ha... évidemment, j'ai perrrdu...
Mais après tout, c'est normal. Tu en sais déjà plus que ce que je t'ai apprrris. Tout ce que Silvairre t'a enseigné, et puis tes expériences à l'aventure. Alorrrs que moi, je me contentais de perfectionner la technique de la Tribu de la Lune...
Je comprends, maintenant. Il me rrreste encore beaucoup à apprendre... voilà ce qui fait notre différence.
J'étais tellement sûrrre que l'archerie des miens surpassait tout le reste, que je n'ai même pas réalisé que je pouvais apprendre beaucoup plus encore de mes camarades de guilde.
J'étais comme prrrisonnière de ma tradition, en somme. J'ai oublié l'importance du regard, de l'ouverture d'esprit, pour un archer.
Merci, <Joueur>. Grrrâce à toi, j'ai compris que ma place est à la guilde, auprès de notre maître et de nos camarades. Y compris Silvairre le grrrincheux !
Allez, rrrentrons à la guilde, maintenant !

Luciane : Ah, vous voilà, <joueur>.
J'ai tout compris en voyant le visage de Leih... inutile d'en dire plus.
Merci de l'avoir aidée à trouver en elle les réponses qu'elle cherchait.
Lorsque l'on se concentre sur un but précis et qu'on se donne à fond pour l'atteindre, on perd parfois de vue d'autres choses qui nous sont importantes. Le même principe s'applique au combat.
Votre arc et votre regard vous serviront aussi à soutenir vos compagnons, un jour. Continuez d'avoir toujours l'esprit ouvert, le regard affûté, et poursuivez votre entraînement.